Le 15 octobre 2017, avec l’assignation de la première édition du prix international de Médecine Centrée sur la personne à la docteure Mariangela Porta (Italie), s’est terminé le premier Congrès International sur « Medical science and health paradigm change ».
Le Congrès, qui a formalisé le changement du paradigme actuel, mécaniciste et déterministe, de la science, de la clinique et de la pédagogie médicales vers un nouveau paradigme non déterministe, multidimensionnel, fondé sur des interactions mental-corps- environnement et piloté par la personne, en accord avec le paradigme de la médecine centrée sur la personne, à partir de la révolution scientifique des 50 dernières années, a porté de nouvelles possibilités au développement du monde.
l’Académie Internationale de Médecine centrée sur la personne et l’École de Médecine de Milan, où le nouveau paradigme de la MCP est né en 1998, en développant toutes les procédures d’enseignement et la première recherche au monde sur l’efficacité de son application clinique.
Le changement de paradigme a été présenté à partir de l’épistémologie, dans des champs différents comme l’épigénétique, la nutrition, l’oncologie, la psycho-neuro-endocrino-immunologie, la gynécologie, l’éducation à la santé, la méthode clinique, la recherche contre la malaria.
Le 13 Octobre la Charte Mondiale de la Santé/the World Health Charter (CMS-WHC), un texte envoyé à tous les chefs d’État en vue d’une convention internationale pour le droit universel à la vie et à la santé dans toutes les étapes du développement et de la maladie a été présenté et a commencé son institution internationale en promouvant un lobby de pression sur les organismes internationaux par le Comité International pour la Charte.
L’essence de la Charte est la nouvelle définition de la santé déjà présentée à l’OMS par le professeur Giuseppe R.Brera : « Le choix des meilleures possibilités pour être la meilleure personne humaine », qui à partir de la science arrive aux possibilités, à la liberté, à la responsabilité de la personne, comme conditions nécessaires pour la santé, ce qui implique en même temps la famille, l’état, la personne.
On peut dire que le 13-14-15 Octobre « n’est pas mort un monde vieux, est né un monde nouveau » (JeanPaul II )